"La différence entre le mot juste et le mot presque juste est la même que celle qui existe entre l'éclair de la foudre et la lumière du ver luisant" (Mark Twain)
La Galerie 1161, 53 quai des Grands‐Augustins à Paris, présente du 24 mai au 25 mai 2011 une
exposition consacrée aux artistes Agnès Pezeu et Philippe Desloubières.
Agnès Pezeu est une peintre du corps. Dans ses performances
elle saisit l'énergie vitale de son modèle et peint ensuite sans toucher la
toile, le propre mouvement de ses mains qui laisse couler la peinture déterminant alors l'œuvre.
Née à Rouen en 1965, Agnès Pezeu a entamé ses études
artistiques à Aix-en-Provence avant de les poursuivre à Paris.
Son sujet permanent, "le corps" dans son
entier, a pris très tôt une place exclusive dans son travail, parfois
figuratif, parfois abstrait. Dès 1992, inspirée par les fresques italiennes,
Agnès Pezeu a choisi les murs comme support en créant de grands formats.
Philippe Desloubières présente pour sa part ses oeuvres en
métal sous la dénomination de «Germination», des sculptures mates ou
irisées, prêtes à briller de toutes les couleurs de l'acier, de la fonte et de
tous les métaux que l'on peut aussi repeindre pour en faire de hardis
monochromes.
Ses sculptures épurées rondes et
généreuses reposent sur une base très mince, déjouant les lois de la pesanteur. Cherchant à
conquérir l'espace, elles le recomposent, jouant avec l'équilibre et les
oppositions. Ayant des formes plutôt organiques, simples et sans anecdotes, elles
peuvent évoquer des espèces, des genres indéfinis : féminin, masculin, humain,
végétal ou animal.
Desloubières a pour particularité de créer chacune
de ses sculptures à la suite de l'autre, la réalisation de la première
engendrant la forme de la suivante.
La Galerie 1161, 53 quai des Grands‐Augustins à Paris, présente du 24 mai au 25 mai 2011 une
exposition consacrée aux artistes Agnès Pezeu et Philippe Desloubières.
Agnès Pezeu est une peintre du corps. Dans ses performances
elle saisit l'énergie vitale de son modèle et peint ensuite sans toucher la
toile, le propre mouvement de ses mains qui laisse couler la peinture déterminant alors l'œuvre.
Née à Rouen en 1965, Agnès Pezeu a entamé ses études
artistiques à Aix-en-Provence avant de les poursuivre à Paris.
Son sujet permanent, "le corps" dans son
entier, a pris très tôt une place exclusive dans son travail, parfois
figuratif, parfois abstrait. Dès 1992, inspirée par les fresques italiennes,
Agnès Pezeu a choisi les murs comme support en créant de grands formats.
Philippe Desloubières présente pour sa part ses oeuvres en
métal sous la dénomination de «Germination», des sculptures mates ou
irisées, prêtes à briller de toutes les couleurs de l'acier, de la fonte et de
tous les métaux que l'on peut aussi repeindre pour en faire de hardis
monochromes.
Ses sculptures épurées rondes et
généreuses reposent sur une base très mince, déjouant les lois de la pesanteur. Cherchant à
conquérir l'espace, elles le recomposent, jouant avec l'équilibre et les
oppositions. Ayant des formes plutôt organiques, simples et sans anecdotes, elles
peuvent évoquer des espèces, des genres indéfinis : féminin, masculin, humain,
végétal ou animal.
Desloubières a pour particularité de créer chacune
de ses sculptures à la suite de l'autre, la réalisation de la première
engendrant la forme de la suivante.
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