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Le journal d'un fou d'art

Chapitre :
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XLVIIIème Chapitre
UNE SECONDE PYRAMIDE CACHEE SOUS CELLE DE CHICHEN ITZA
21 Novembre 2016

Des chercheurs ont établi qu'une seconde structure de 10 mètres de hauteur était dissimulée sous la pyramide kukulkan dans les ruines mayas de Chichen Itza, au Mexique.

Des forages effectués dans ce secteur durant les années 1930 avaient d'ailleurs révélé l'existence d'un monticule dans lequel se trouvait un trône serti de jade sous la forme d'un jaguar.

La cité de Chichen Itza avait été fondée vers le 6e siècle par les Mayas de la péninsule du Yucatan avant d'être prise 4 e siècles plus tard par un autre peuple de même origine influencé par la culture toltèque du centre du Mexique lequel avait construit la pyramide d'El Castillo haute de 24 mètres directement au-dessus d'une caverne remplie d'eau (Cenote) qui,dédiée au dieu de la pluie, fut le lieu de nombreux sacrifices humains.

A l'aide de scanners, les chercheurs ont trouvé au dessous cette pyramide et plus précisément en direction de la caverne une structure munie d'un escalier et apparemment d'un autel alors que leurs études ont démontré que l'existence de Chichen Itza avait été divisée en trois périodes, la première allant de 550 à 800 appelée celle des purs Mayas, la seconde de 800 à 1000, considérée comme celle de la transition lorsque des pélerins y vinrent du centre du Mexique avec des traditions toltèques et la 3e, de 1000 à 1300, dite de l'occupation finale.

La structure trouvée dans les années 1930 correspondait à la période de la transition et celle découverte dernièrement qui date de la première et aurait servi à des cérémonies sacrées pourrait apporter des éclaircissements sur le développement progressif de la cité.

TRESOR CACHE DANS UNE MAISON NORMANDE

 

En vidant la maison d'un parent décédé, à Évreux (Eure), un héritier a trouvé par hasard 100 kilos d'or en lingots et pièces d'une valeur de 3,5 millions d'euros qui étaient cachés aux quatre coins de celle-ci.


Mandaté pour évaluer le bien immobilier, un commissaire-priseur est tombé sur plusieurs récipients dissimulés un peu partout, notamment une boîte en fer vissée sous un meuble et une autre servant à ranger une bouteille de whisky remplies de pièces d'or, avant de découvrir sept lingots d'un kilo, deux barres d'or pur de 12 kilos et comptabiliser au total plus de 5 000 pièces du précieux métal qui aurait été acheté légalement, dans les années 50.


DES EXCREMENTS VIEUX DE 300 ANS EXAMINES A LA LOUPE

Trouvés en 1937 dans des latrines lors de fouilles réalisées dans le manoir de l'évêque danois Jens Bircherod à Aalborg , des excréments produits  il y a 300 ans par ce dernier ont finalement fait l'objet d'une analyse qui a révélé que le régime du prélat était constitué de raisins, des figues, de noix et de poivre.   

Les chercheurs ont été sûrs que ces excréments appartenaient à l'évêque vu qu'il était le seul à utiliser les latrines de son manoir, nonobstant le fait qu'on y a trouvé des traces de sarrasin que l'homme d'église était réputé avoir consommé durant son enfance sur l'île de Funen. Ils ont également étudié ses écrits dans lesquels celui-ci détaillait ses dîners opulents composés de baies, des noix et des aliments exotiques alors que les Danois plus humbles mangeaient surtout du porc, du pain noir et des laitues.

MANIFESTATION CONTRE LE DEMANTELEMENT DE LA GRANDE ROUE DES TUILLERIES

Des dizaines de forains en colère ont manifesté le 24 novembre sur la place de la Concorde en signe de protestation contre la décision des autorités de démanteler la grande roue située à l'entrée Tuileries en signe de soutien pour Marcel Campion, son propriétaire.

Installée depuis l'an 2000, cette grande roue  haute de 70 mètres a attiré plus de 300 000 visiteurs par an et a été un pôle d'attraction, notamment lors de la fête commerciale de Noël organisée sur le bas de l'avenue des Champs-Elysées mais le ministère de la Culture a reproché à Campion, 76 ans, d'occuper illégalement un site d'intérêt historique.

Ce dernier a répondu qu'il ne faisait rien d'illégal puisqu'il avait obtenu l'autorisation de la Mairie de Paris de conserver jusqu'en mai 2017 la grande roue qui selon lui contribue à la célébrité de la capitale. Peut-être, sauf qu'on peut se demander si une telle attraction a vraiment sa place sur un tel lieu chargé d'histoire.


LES MARCHANDS BRITANNIQUES OPPOSES A LA NOUVELLE LOI SUR L'HERITAGE CULTUREL

Des marchands britanniques ont soulevé de sérieuses objections au sujet du projet de loi sur l'héritage culturel appelé à être débattu au parlement en réclamant un texte plus clair sur la lutte contre le trafic d'antiquités provenant de zones de guerres puisque pour l'instant celui-ci laisse entendre que les professionnels et les maisons de vente commettraient sans équivoque un délit à propos de telles pièces même en agissant de bonne foi.

Inquiets de voir le marché de l'art devenir vulnérable, ceux-ci ont estimé que les professionnels honnêtes seraient confrontés à des incertitudes et que des pièces licites pourraient faire les frais de ce texte qui dit en substance qu'ils commettraient un délit en négociant des antiquités en sachant ou simplement en suspectant qu'elles auraient été exportées illégalement de pays en guerre pour les obliger a fournir à tout acheteur des documents sur leur provenance, l'identité du vendeur ou du précédent propriétaire et toute information nécessaire sur leur histoire mais les marchands ont rétorqué que le texte ne fait aucune différence entre la notion de bonne foi ou une intention malhonnête.

LE CRÂNE MEXICAIN DU MUSEE NEERLANDAIS ETAIT UN FAUX

Décoré de mosaïques en turquoise, un crâne soi-disant vieux de 800 ans acquis en 1963 pour 20 000 dollars par le Musée d'ethnologie de l'université de Leyde qui le considérait comme un chef d'oeuvre de l'art indigène Mixtec s'est avéré finalement être un faux à la suite d'une analyse scientifique.

Celle-ci a montré que le crâne et les plaques de turquoise dataient bien du 12e siècle mais qu'une colle du 20e siècle avait été utilisée pour les assembler et que les dents étaient également récentes.

C'est à la suite d'un appel téléphonique en 2010 d'un spécialiste français de l'art précolombien qui exprimait ses doutes sur l'authenticité de ce crâne que le conservateur du musée néerlandais avait décidé de le faire analyser. Ce dernier a déclaré que ce faux avait été vraisemblablement réalisé dans les années 1940 ou 1950 par un dentiste mexicain au moment où de nombreux sites archéologiques subissaient des pillages en ajoutant qu'il n'en reste pas moins que ce crâne et les éléments en turquoise sont bien d'époque. Rappelons que des musées français, anglais et américains ont découvert en 2008 que des crânes précolombiens en cristal qu'ils possédaient étaient simplement des plagiats.

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