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Le journal d'un fou d'art

Chapitre :
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XLVIIIème Chapitre
LES BISBILLES AUTOUR D'UN ARTISTE CHINOIS SONT DEVENUES BRUTALES
05 Octobre 2016

Le refus manifesté par Philippe Koutouzis, l'expert autoproclamé de l'artiste chinois Tang Haiwen (1927-1991), d'authentifier des oeuvres qu'il estime fausses, a conduit à une guerre sans merci entre lui et ceux qui ont finalement décidé de créer un comité en vue de le contrer pour aboutir maintenant à des actes inouïs de violence.

La première victime a été le célèbre chineur luxembourgeois Chester Fielx qui, à peine revenu à Paris le 3 octobre, a été approché près de l'Hôtel Drouot par un marchand breton du passage Verdeau qui avait acquis avec un associé de même origine une série d'oeuvres de Tang Haiwen par son entremise.

Invité à suivre ce marchand dans sa galerie, Fielx a juste eu le temps de s'asseoir sur une chaise pour s'entendre dire vertement que cette série, pourtant achetée aux enchères des Domaines il y a près de 25 ans lors de la vente de l'atelier de l'artiste, étaient des plagiats selon un e-mail reçu de la part de Koutouzis tandis que l'associé de son interlocuteur à surgi brusquement pour le frapper violemment à coups de poing au visage et dans les côtes en le mettant à bas de sa chaise et en s'emparant de son portefeuille avec l'intention de se rembourser sans plus attendre.

Choqué, le prince des chineurs est allé porter plainte au commissariat du coin avant de passer à la demande de la police un examen médical à l'Hôtel-Dieu, ce qui pourrait valoir à son agresseur d'être mis en examen pour coups et blessures ainsi que pour tentative d'extorsion de fonds  alors qu'il aurait été bien plus simple pour lui de discuter afin de trouver un terrain d'entente à propos de ces oeuvres considérées comme fausses et de les rendre pour se faire rembourser, ce qui en fait n'était pas possible sur l'instant puisqu'il avait omis de dire que deux d'entres ellles avaient été déjà vendues à des particuliers.

L'affaire de la succession de Tang Haiwen a pris des proportions inimaginables depuis que Koutouzis s'est arrogé le droit moral sur l'oeuvre de l'artiste en achetant près de 8000 oeuvres lors de la vente de son atelier et en dénichant ensuite miraculeusement en Chine un frère demeuré inconnu pour empêcher par ricochet le fisc français de prélever un gros pourcentage sur cet héritage.

Depuis lors, ce dernier a sans cesse contesté des oeuvres provenant pourtant de la dispersion de l'atelier de Tang Haiwen organisée par les Domaines après son décès en n'hésitant pas à bloquer leurs ventes en France et à l'étranger, ce qui n'a pas manqué de provoquer l'ire de leurs possesseurs qui ont décidé de créer un Comité des amis de Tang Haiwen basé à Paris dans le but de s'opposer à ses manoeuvres jugées inacceptables. Bref, voilà une affaire qui, à coups de procès, n'en finit pas au point de déboucher sur des actes de violence dans un contexte devenu tendu à Paris, où les affaires ont sérieusement marqué le pas depuis des mois pour rendre ainsi les marchands très nerveux.

Pour en revenir à Tang Haiwen, Koutouzis avait acheté la majorité des oeuvres de l'artiste lors de la vente précitée tandis que le reste avait été acquis par d'autres enchérisseurs qui aujourd'hui sont confrontés à ses refus d'authentification. Il convient d'ajouter que d'autres oeuvres, offertes de son vivant par l'artiste à un marchand, puis volées par une proche de ce dernier ont circulé plus tard sur le marché.

L'ART CONTEMPORAIN RESTE LA LOCOMOTIVE DU MARCHE

Les ventes d'art contemporain se sont essoufflées entre juillet 2015 et juin 2016 en connaissant un recul de 25 % en un an avec 1,5 milliard de dollars de ventes par rapport à 2,1 milliards précédemment mais les opérateurs estiment qu'il ne s'agit là que d'un effet de réajustement prévisible.

 

L'art contemporain demeure donc la locomotive du marché avec 12% des recettes mondiales contre 9,6% en 2015 pour constituer un investissement assez performant sur le long terme alors que depuis l'an 2000, le nombre d'oeuvres d'art contemporain vendues avait quadruplé, avec une progression du produit des ventes de plus de 1300%, une hausse en grande partie due aux collectionneurs chinois, premiers acheteurs au monde, bien que les ventes d'art contemporain en Chine aient reculé de 47% entre 2015 et 2016.


Désormais, ces derniers se sont progressivement tournés vers des œuvres plus historiques en 'hésitant pas à débourser  214 millions de dollars pour un Monet, 170 millions de dollars pour un Modigliani ou 66,3 millions de dollars pour un Van Gogh. 


UN TABLEAU DE SCHMIDT-ROTTLUF SPOLIE PAR LES NAZIS RACHETE PAR LE MUSEE QUI L'AVAIT RESTITUE

 

La Neue Galerie de New York est parvenue à négocier le rachat d'un tableau de l'artiste expressionniste allemand Karl Schmidt-Rottluff auprès des héritiers d'un marchand juif de chaussures dont la collection d'art avait été pillée par les nazis après le départ d'Allemagne de sa veuve et de sa famille en 1939..

 

Ayant acquis aux enchères en 1999 ce tableau représentant un nu, le musée de Manhattan s'était retrouvé obligé de le restituer aux héritiers d'Alfred et de Tekla Hess avant de pouvoir le racheter pour une somme restée confidentielle.

 

Co-fondée en 2001 par Ronald S. Lauder qui a lui a offert une partie de sa collection, la Neue Galerie a également bénéficié d'un legs de son ami, le marchand et spécialiste de l'art expressionniste Serge Sabarsky, décédé en 1996 pour offrir au public un large éventail des oeuvres des artistes autrichiens et allemands de cette mouvance.

 

Héritier de sa mère Estée Lauder qui fit fortune via la fabrication et la diffusion de cosmétiques, Ronald Lauder a été le fer de lance d'une campagne pour la restitution d'oeuvres volées par les nazis à des collectionneurs juifs après être devenu le président d'une commission créée à cet effet qui s'est chargée de négocier leur retour auprès de nombreux pays et musée.


Il s'est ainsi attaché à vérifier la provenance des oeuvres de sa collection et de celle de la Neue Galerie dans un souci de transparence en restituant trois oeuvres qu'il avait acquises alors que le nu de Schmidt-Rotluff est le premier à avoir été rendu par la Nueue Galerie à ses propriétaires légitimes.

 

Des recherches faites à propos de ce tableau avaient permis de déterminer qu'il avait disparu d'un entrepôt de l'Association artistique de Cologne après le départ de la veuve d'Albert Hess pour la Grande-Bretagne en 1939 avant de réapparaitre en 1994 dans une vente organisée par un groupe à Berlin pour le compte des héritiers du peintre Peter Herkenrath et d'être acheté cinq ans plus tard par Lauder auprès de cette même maison.


Les héritiers de la famille Hess avaient approché la Neue Galerie l'an dernier pour réclamer ce tableau alors que le musée avait répondu qu'il n'y avait eu aucune indication à propos de sa provenance lorsqu'il avait été acheté à Berlin. Toutefois, des requêtes faites par la suite auprès des archives allemandes montrèrent que la collection Hess avait été largement pillée et que ce nu en faisait partie.

 

Ces derniers ont par ailleurs obtenu la restitution d'autres tableaux, notamment une scène de rue à Berlin du peintre Ernst Ludwig Kirchner, rendu il y a dix ans par un musée berlinois avant que ceux-ci le vendent chez Christie's en faveur de Lauder et de la Neue Galerie.

UN RESEAU DE TRAFIQUANTS D'ANTIQUITES DEMANTELE EN GRECE

La police grecque a interpellé 26 individus, dont six étrangers, soupçonnés de se livrer à des trafics de pièces archéologiques déterrées illégalement dans la région de Patras tandis que 15 autres ont été activement recherchés.

Deux statues antiques en pierre ont été retrouvées cachées dans un puits près du village de Nemea après l'interpellation des membres d'un réseau qui avaient contacté des acheteurs éventuels en Grèce et à l'étranger.

Au total, ce sont cinquante personnes qui ont été impliquées dans ce vaste trafic qui durait depuis une dizaine d'années tandis que la police grecque a fini par récupérer 2000 pièces déterrées illégalement, principalement des pièces de monnaie datant du 6e siècle avant J.-C. et après ainsi qu'une figurine cycladique du 3e millénaire avant notre ère, un collier en or, des bagues, des statuettes en bronze d'animaux et les deux grandes statues en pierre précitées.

Selon la police, des membres de ce réseau auraient été en contact avec des maisons de vente étrangères dont certaines leur auraient avancé de l'argent en échange des pièces qu'ils apportaient en vue de les vendre ensuite en ligne sur Internet.


UN FAUX FRANS HALS MERVEILLEUSEMENT EXECUTE REMBOURSE PAR SOTHEBY'S

Vendu il y a cinq ans pour près de 8,5 millions de livres sterling, un magnifique  portrait d'homme du 17e siècle donné à l'artiste hollandais Frans Hals a été remboursé à son acheteur par Sotheby's après qu'une analyse ait révélé qu'il s'agissait d'un faux habilement exécuté.

Les spécialistes de la peinture hollandaise ont été stupéfaits par le résultat de cette analyse pour dire que son auteur est probablement le plus grand plagiaire de tous les temps, tellement il s'est inspiré à fond du style et de la verve si typiques de Frans Hals.

C'est à la suite de la saisie il y a quelques mois en France d'un tableau du 16e siècle de Lucas Cranach représentant Vénus appartenant à la collection du prince de Lichtenstein dénoncé comme douteux dans une lettre anonyme envoyée à la police que l'analyse du tableau donné à Hals a été effectuée.

Le scandale porterait en fait sur 200 millions d'euros de faux tableaux qui ont trompé des experts réputés à présent ridiculisés avant qu'on ne se rende compte que le portrait signé Hals provenait de la même source que la Vénus de Lucas Cranach saisie par la police française, à savoir le collectionneur Giulano Rufini qui possède nombre d'oeuvres dont l'origine reste floue.

Le tableau de Hals avait été considéré comme une redécouverte majeure qui avait intéressé le Musée du Louvre en 2008 mais celui-ci n'avait pas pu réunir les 5 millions d'euros demandés par Christie's pour le compte de son vendeur après qu'il eût passé une batterie de tests au Centre français de Recherche et de Restauration.

L'oeuvre avait été finalement achetée pour 3 millions d'euros par le marchand londonien Mark Weiss qui l'avait revendue en privé via Sotheby's au collectionneur américain Richard Hedreen qui l'avait payé 10 millions de dollars.

Bizarrement, ni Weiss ni Sotheby's ne s'étaient pas posé de question au sujet du manque de provenance de ce tableau avant que la maison de vente, inquiète d'apprendre que le Cranach était un faux, ne s'avise à contacter la société Orion Analytical basée dans le Massachussetts pour l'étudier de plus près et découvrir alors qu'il contenait des pigments synthétiques du 20e siècle.

En vertu de quoi, Sotheby's a été obligée de rembourser le tableau à son acquéreur mais Weiss, encore convaincu de son authenticité, n'a toujours pas retourné les 50% qu'il avait touchés sur sa vente en réclamant de nouvelles analyses. Il convient toutefois de rappeler que dans le cas des faux tableaux modernes vendus par la galerie Knoedler de New York, ce fut la société Orion qui enfonça le clou lors d'un procès retentissant en prouvant qu'ils n'avaient rien d'authentique.

Les spécialistes du marché des tableaux anciens craignent donc désormais d'être confrontés à un scandale de grande ampleur d'autant plus que 25 oeuvres suspectes seraient sorties de la collection de Ruffini, ce qui voudrait dire que les experts seraient mis une fois de plus sur la sellette.

Pourtant, ceux-ci comptent toujours sur leur regard avisé pour se forger une opinion sur des tableaux qu'on leur présente alors que dorénavant, il serait de leur intérêt d'avoir recours à des analyses en laboratoire pour être sûrs de ne pas se tromper puisque leur flair a été mis en défaut.

Comme le tableau de Hals, celui de Cranach a été soumis à des analyses poussées qui ont montré qu'il était loin de dater du 16e siècle alors que sa surface avait été artificiellement vieillie. Par ailleurs, deux autres tableau de la collection Ruffini, "David avec la tête de Goliath" soi-disant peint par Orazio Gentileschi et un "Saint Jérôme" attribué au Parmesan, présentés respectivement à la National Gallery de Londres et au Metropolitan Museum de New York, sont désormais considérés comme suspects.

Appartenant lui aussi à Ruffini et vendu à New York par Sotheby's en 2012 comme une oeuvre du cercle du Parmesan, le "Saint Jérôme" exposé désormais comme attribué au peintre au Metropolitan Museum subira bientôt lui aussi une analyse poussée.

Décrite comme redécouverte en 1999, cette oeuvre a été considérée comme un authentique Parmesan par les spécialistes au point d'être exposée au Kunsthistorisches Museum de Vienne en 2003.

Maintenant, il reste à savoir de quelle manière Ruffini a acquis tant de tableaux désormais douteux qui seraient l'oeuvre d'un faussaire hyper-doué lequel aurait cependant commis des erreurs décelables désormais dans les craquelures et des tracés qu'on retrouve dans ceux-ci en créant des compositions trop belles pour être vraies.

A l'évidence, d'autres faux feront leur apparition sur le marché tandis qu'on ne sait toujours pas qui les aurait réalisés, un plagiaire de génie capable de mimer à la perfection les styles de grands maîtres aussi différents que ceux de Hals ou Cranach et de produire des interprétations de grande qualité en sachant les vieillir avec art.

Toutefois, ces plagiats ont montré leurs limites grâce aux analyses scientifiques car leur auteur n'a pas réussi à trouver les pigments d'époque, ce qui le fera finalement retomber au même plan que le célèbre van Meegeren qui trompa les experts des années 1930 et 1940 avec ses pastiches de Vermeer qui à présent exhalent des défauts si flagrants que plus un spécialiste patenté ne peut être dupé.

PORTRAIT CACHE D'UN ARTISTE DANS UN DE SES TABLEAUX

Un tableau du peintre Pieter Gerritsz van Roestraten (vers 1630-1700) de la collection de la reine d'Angleterre représentant une Vanité a révélé son secret après nettoyage, à savoir que ce dernier y avait inclus son autoportrait.

Cette opération de nettoyage a eu lieu alors qu'une exposition intitulée "Artist Portrait" réunissant 150 oeuvres, notamment de Rubens, Artemisia Gentileschi ou Francesco Melzi, l'élève de Vinci, était programmée pour démarrer le 4 novembre dans la galerie de la Reine au Palais de Buckingham.

Les tableaux de vanités faisaient partie des natures mortes très prisées aux Pays-Bas au 17e siècle, comme celui de Roestraten qui avait peint sur la toile des objets disposés sur un coffre, des pièces de monnaie, une montre gousset en argent personnifiant la convoitise des choses de ce monde et le temps qui passe, un crâne rappelant la mort inéluctable de tout être humain, un livre avec une gravure représentant Démocrite, le philosophe grec avec une inscription sur la vanité ruinant l'humanité et une sphère en verre suspendue au-dessus signifiant la fragilité de la vie.

En retirant le vernis jauni sur cette sphère en verre, les restaurateurs ont retrouvé l'image à peine haute de 3 cm de l'autoportrait du peintre tenant sa palette dans le cadre de son atelier en train de regarder en direction du spectateur, du crâne et d'un pot de gingembre en argent figurant dans son tableau, une petite merveille en miniature.

Elève de Frans Hals, Roestraten s'était installé comme peintre de natures mortes à Londres, où il fut, dit-on, blessé durant le grand incendie de 1666 qui ravagea la ville. Celui-ci avait pris un malin plaisir à se représenter dans ses tableaux puisqu'on connait au moins neuf natures mortes où on trouve son autoportrait.

D'autres artistes firent de même, notamment Sebastiano Ricci dans un de ses tableaux intitulé "Le Christ parmi les docteurs dans le temple" (1711-1716) où ce dernier se représenta sous les traits d'un docteur tenant une loupe tandis que son compatriote italien Christofano Allori, peignit en 1613 un tableau sur le thème de Judith et Holopherne, le général que la femme décapite, en le figurant sous ses traits.

LE MINISTRE FRANCAIS DES FINANCES SUGGERE DES MESURES DE TRANSPARENCE POUR LES PORTS FRANCS

Jeudi 6 octobre à Washinbgton, Michel Sapin, le ministre français des Finance, a demandé au Groupe des 20, à la Banque Mondiale et au FMI d'empêcher que les ports francs puissent servir de plaque tournante à des groupes terroristes pour vendre des oeuvres d'art volées.

"Nous devons nous attaquer au commerce des oeuvres d'art dans le cadre de notre combat contre le financement des groupes terroristes", a déclaré le ministre qui a ajouté que les ports francs représentaient un lien ténu avec leurs trafics en recevant des pièces d'antiquités volées en Iraq ou en Syrie destinées à être revendues au profit de l'Etat islamique.

Selon Michel Sapin, les ports francs situés près de certains aéroports internationaux, notamment celui de Genève, permettent des importations de biens qui peuvent être entreposés puis réexportés en échappant aux contrôles douaniers.

"Je me réfère particulièrement au port franc de Genève mais il en existe d'autres ailleurs qui permettent des activités opaques car des oeuvres d'art  peuvent y être entreposées sans que les autorités le sachent. J'espère donc que des règles de transparence leur seront appliquées", a-t-il conclu.


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