L'artiste portugaise Joana Vasconcelos a pris
possession du château de Versailles jusqu'au 30 septembre 2012 avec des
créations amusantes et parfois insolentes mais les visiteurs en auront certainement vu
d'autres avec celles deJeff Koons ou de
Takashi Murakami.
On retiendra surtout que Joana Vasconcelos, née à Paris
en 1971, aura été la première femme à investir un lieu aussi légendaire. Pour le
reste, elle aura fait un petit clin d'œil à Marie-Antoinette avec ses œuvres
recouvertes de dentelles tout en étant navrée que les organisateurs de son
exposition aient préféré ne pas exposer son énorme chandelier fait de serviette
hygiénique, le tampax ne faisant apparemment pas ménage avec les règles de
l'art.
C'est
avant tout de la féminité que l'artiste a voulu mettre en avant avec les
stilettos de Marilyn réalisés avec des casseroles et des lions en marbre
couverts de dentelle ou encore un hélicoptère recouvert de feuilles d'or et de
plumes d'autruche de couleur rose.
Il y a beaucoup de dérision dans l'art de
cette bonne femme qui ne paie pas de mine mais ses créations réalisées comme celles de Koons ou Murakami avec l'aide
d'une trentaine de collaborateurs n'ont pas de quoi créer une révolution sinon qu'à faire grincer des dents ceux qui défendent âprement le caractère originel
du château qui un jour finira peut-être par être emballé par Christo.
L'artiste portugaise Joana Vasconcelos a pris
possession du château de Versailles jusqu'au 30 septembre 2012 avec des
créations amusantes et parfois insolentes mais les visiteurs en auront certainement vu
d'autres avec celles deJeff Koons ou de
Takashi Murakami.
On retiendra surtout que Joana Vasconcelos, née à Paris
en 1971, aura été la première femme à investir un lieu aussi légendaire. Pour le
reste, elle aura fait un petit clin d'œil à Marie-Antoinette avec ses œuvres
recouvertes de dentelles tout en étant navrée que les organisateurs de son
exposition aient préféré ne pas exposer son énorme chandelier fait de serviette
hygiénique, le tampax ne faisant apparemment pas ménage avec les règles de
l'art.
C'est
avant tout de la féminité que l'artiste a voulu mettre en avant avec les
stilettos de Marilyn réalisés avec des casseroles et des lions en marbre
couverts de dentelle ou encore un hélicoptère recouvert de feuilles d'or et de
plumes d'autruche de couleur rose.
Il y a beaucoup de dérision dans l'art de
cette bonne femme qui ne paie pas de mine mais ses créations réalisées comme celles de Koons ou Murakami avec l'aide
d'une trentaine de collaborateurs n'ont pas de quoi créer une révolution sinon qu'à faire grincer des dents ceux qui défendent âprement le caractère originel
du château qui un jour finira peut-être par être emballé par Christo.
Accueil
Actualités
