On peut remercier Alexandre Dumas d'avoir eu une imagination débordante pour écrire nombre de livres extraordinaires. Sinon, il n'aurait peut-être écrit qu'un seul roman qu'il aurait peut-être intitulé « L'Etroit Mousquetaire »….
Ayant invité le 21 novembre 2009 260 artistes de
diverses tendances dans la chapelle Sixtine du Vatican, le Pape Benoît XVI a
cherché à réconcilier l'Eglise avec le monde de l'art tout en les appelant à
faire preuve de responsabilité.
Parmi les artistes invités par le Pape, on a noté la
présence des chanteurs Andrea Bocelliou Richard Cocciante, du compositeur Ennio Morricone, du réalisateur
britannique Peter Greenaway, du sculpteur Igor Mitoraj, ou dela pianiste canadienne Angela Hewitt.
Le souverain pontife a également tenu à rendre
hommage à ses prédécesseurs Paul VI et Jean-Paul II qui avaient tenté de
resserrer les liens entre l'Eglise et les artistes.
Citant
Paul VI, il a déclaré que les artistes étaient les gardiens de la beauté
du monde tout en soulignant la capacité de l'art à provoquer chez l'homme une
secousse salutaire lui permettant d'ouvrir à nouveau les yeux du cœur et de
l'esprit pour se remettre en marche rempli d'espérance.
Benoît XVI
a néanmoins remarqué que la beauté montrée dans l'art paraissait trop souvent
illusoire et fallacieuse, superficielle et aveuglante jusqu'à emprisonner les hommes et à leur priver d'expérience et de joie alors
qu'elle devrait conduire à la transcendance, au mystère ultime et à Dieu, ce
qui l'a amené à critiquer l'obscénité, la transgression ou la provocation en
estimant qu'au contraire, l'art avait pour vocation de représenter une valeur
religieuse.
Pour le
Pape, l'art se doit de montrer Dieu au cœur de toute chose et les artistes ont
pour mission d'êtreles gardiens de la
beauté à travers leur talent nonobstant le fait que la foi n'enlève rien à leur génie
puisqu'elle a pour résultat de les exalter. En somme, le Vatican a tenu à
rappeler les artistes à l'ordre en constatant en filigrane que l'art était sous
certains aspects perverti du fait de l'accumulation d'œuvres provocantes et iconoclastes.
Ayant invité le 21 novembre 2009 260 artistes de
diverses tendances dans la chapelle Sixtine du Vatican, le Pape Benoît XVI a
cherché à réconcilier l'Eglise avec le monde de l'art tout en les appelant à
faire preuve de responsabilité.
Parmi les artistes invités par le Pape, on a noté la
présence des chanteurs Andrea Bocelliou Richard Cocciante, du compositeur Ennio Morricone, du réalisateur
britannique Peter Greenaway, du sculpteur Igor Mitoraj, ou dela pianiste canadienne Angela Hewitt.
Le souverain pontife a également tenu à rendre
hommage à ses prédécesseurs Paul VI et Jean-Paul II qui avaient tenté de
resserrer les liens entre l'Eglise et les artistes.
Citant
Paul VI, il a déclaré que les artistes étaient les gardiens de la beauté
du monde tout en soulignant la capacité de l'art à provoquer chez l'homme une
secousse salutaire lui permettant d'ouvrir à nouveau les yeux du cœur et de
l'esprit pour se remettre en marche rempli d'espérance.
Benoît XVI
a néanmoins remarqué que la beauté montrée dans l'art paraissait trop souvent
illusoire et fallacieuse, superficielle et aveuglante jusqu'à emprisonner les hommes et à leur priver d'expérience et de joie alors
qu'elle devrait conduire à la transcendance, au mystère ultime et à Dieu, ce
qui l'a amené à critiquer l'obscénité, la transgression ou la provocation en
estimant qu'au contraire, l'art avait pour vocation de représenter une valeur
religieuse.
Pour le
Pape, l'art se doit de montrer Dieu au cœur de toute chose et les artistes ont
pour mission d'êtreles gardiens de la
beauté à travers leur talent nonobstant le fait que la foi n'enlève rien à leur génie
puisqu'elle a pour résultat de les exalter. En somme, le Vatican a tenu à
rappeler les artistes à l'ordre en constatant en filigrane que l'art était sous
certains aspects perverti du fait de l'accumulation d'œuvres provocantes et iconoclastes.