Le Conseil des ventes volontaires
(CVV) a insisté ce 22 juin 2010 pour que l'Hôtel des ventes Drouot applique des
mesures adéquates pour redorer son image suite àune affaire de détournement d'œuvres d'art qui a fait couler
beaucoup d'encre dans la presse.
Francine
Mariani-Ducray, la présidente du CVV, a souhaité vivement que la réputation de
Drouot devienne irréprochable après avoir néanmoins retenu que sa
direction avait pris la sage décision de mettre fin au monopole de l'Union des commissionnaires de la salle
des ventes chargés du transport et de la manutention de lots, une mesure cependant jugée insuffisante.
L'Hôtel Drouot avait été secoué en décembre 2009
par une affaire de vol et de détournement d'objets d'art de la part de certains
commissionnaires surnommés les « cols rouges » ou
« Savoyards », ce qui avait conduit à la mise en examen de huit d'entre
eux avant celle intervenue au début du mois de René Revial, le gérant de leur
groupement.
Le Conseil des ventes volontaires
(CVV) a insisté ce 22 juin 2010 pour que l'Hôtel des ventes Drouot applique des
mesures adéquates pour redorer son image suite àune affaire de détournement d'œuvres d'art qui a fait couler
beaucoup d'encre dans la presse.
Francine
Mariani-Ducray, la présidente du CVV, a souhaité vivement que la réputation de
Drouot devienne irréprochable après avoir néanmoins retenu que sa
direction avait pris la sage décision de mettre fin au monopole de l'Union des commissionnaires de la salle
des ventes chargés du transport et de la manutention de lots, une mesure cependant jugée insuffisante.
L'Hôtel Drouot avait été secoué en décembre 2009
par une affaire de vol et de détournement d'objets d'art de la part de certains
commissionnaires surnommés les « cols rouges » ou
« Savoyards », ce qui avait conduit à la mise en examen de huit d'entre
eux avant celle intervenue au début du mois de René Revial, le gérant de leur
groupement.
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