« L'art et la vie ne faisant qu'un, c'est dans la recherche de la poésie de tous les jours, à base d'objets manufacturés ou de structures existantes, que je peux déterminer ma poétique » (Jean-Pierre Raynaud)
Le Musée du Louvre a fait appel à des dons pour pouvoir acheter un livre d'Heures avec une reliure en or émaillé, des pierres précieuses et deux magnifiques intailles réalisé vers 1532 que François 1er avait offert à sa nièce Jeanne d'Albret qu'il éleva au sein de sa cour avant d'appartenir au roi Henri IV et au cardinal de Mazarin.
Devenu la propriété de collectionneurs anglais au 18e siècle, ce rare ouvrage d'orfèvrerie, considéré comme trésor national mis en vente par son possesseur londonien, est désormais convoité par le Louvre qui a déjà récolté la moitié des 10 millions d'euros requis grâce à la générosité de la société LVMH.
Il convient de signaler qu'aucun musée français ne possède un livre manuscrit de ce type si richement relié qui ne mesure que 8,5 x 6,5 cm avec 16 pleines pages illustrées et de nombreuses initiales enluminées apte à faire le bonheur du Louvre qui espère tant réunir l'argent nécessaire pour son acquisition alors qu'il organise jusqu'au 22 mai 2018 une exposition intitulée "François 1er et l'art des Pays-Bas" qui montre que le souverain s'était aussi intéressé aux artistes venus du Nord.
Le
roi avait notamment acheté des tapisseries, des pièces d'orfèvrerie et des tableaux flamands en en favorisant ainsi l'émergence de nouveaux artistes originaires des
Pays-Bas, comme les portraitistes Jean
Clouet et Corneille de La Haye dit Corneille de Lyon alors que les influences artistiques d'artistes issus d'Anvers, Bruxelles, Amsterdam, Leyde ou Haarlem se développèrent à Paris et en province en influençant nombre d'homologues français.
Le Musée du Louvre a fait appel à des dons pour pouvoir acheter un livre d'Heures avec une reliure en or émaillé, des pierres précieuses et deux magnifiques intailles réalisé vers 1532 que François 1er avait offert à sa nièce Jeanne d'Albret qu'il éleva au sein de sa cour avant d'appartenir au roi Henri IV et au cardinal de Mazarin.
Devenu la propriété de collectionneurs anglais au 18e siècle, ce rare ouvrage d'orfèvrerie, considéré comme trésor national mis en vente par son possesseur londonien, est désormais convoité par le Louvre qui a déjà récolté la moitié des 10 millions d'euros requis grâce à la générosité de la société LVMH.
Il convient de signaler qu'aucun musée français ne possède un livre manuscrit de ce type si richement relié qui ne mesure que 8,5 x 6,5 cm avec 16 pleines pages illustrées et de nombreuses initiales enluminées apte à faire le bonheur du Louvre qui espère tant réunir l'argent nécessaire pour son acquisition alors qu'il organise jusqu'au 22 mai 2018 une exposition intitulée "François 1er et l'art des Pays-Bas" qui montre que le souverain s'était aussi intéressé aux artistes venus du Nord.
Le
roi avait notamment acheté des tapisseries, des pièces d'orfèvrerie et des tableaux flamands en en favorisant ainsi l'émergence de nouveaux artistes originaires des
Pays-Bas, comme les portraitistes Jean
Clouet et Corneille de La Haye dit Corneille de Lyon alors que les influences artistiques d'artistes issus d'Anvers, Bruxelles, Amsterdam, Leyde ou Haarlem se développèrent à Paris et en province en influençant nombre d'homologues français.