La crise de 2009 a eu des effets directs sur le domaine de l'art contemporain où les cotes des artistes en vogue précédant le mois de septembre 2008 comme Jeff Koons ou Damien hirst ont chuté de moitié.
Par contre, les cotes des
grands artistes modernes ou les maîtres anciens ainsi que les prix pour les
arts asiatiques ont mieux résisté en 2009, signe que les amateurs ont tablé enfin sur des valeurs stables. Il convient de signaler que les ventes d'art
contemporain avaient explosé entre 2003 et 2008 pour des atteindre des sommets
jamais atteints. En 2008, Jeff Koons avait ainsi été crédité de plus de 81
millions d'euros de ventes avec 18 œuvres dépassant le million de dollars pièce
alors qu'en 2009, seules neuf ont pu atteindre ce seuil.
EEEn
2008, trente-deux œuvres de Damien Hirst ont été vendues pour plus d'un million
de dollars dont vingt-quatre lors de la grande vente qui lui avait été consacrée par Sotheby's à
l'automne 2008 laquelle avait totalisé près de 111 millions de livres (123 millions
d'euros). En 2009, une seule une œuvre de la série des Papillons a atteint 2
millions de dollars lors d'une vente à Hong Kong en octobre alors que les
collectionneurs ont semble-t-il décidé de se rabattre sur les premières œuvres
de Hirst produites par lui seul.
Les amateurs ont ainsi
tenu compte du fait que les œuvres de Koons ou de Hirst créées dans des
ateliers fourmillant de collaborateurs n'avaient pas un caractère vraiment
personnel et tenaient plutôt de la production en série selon le concept
discutable du design et non de la création propre. Le bon côté de la crise a
ainsi été de leur ouvrir utilement leurs yeux sur la qualité intrinsèque des œuvres
pour permettre au marché d'être remis enfin sur de meilleurs rails.
La crise de 2009 a eu des effets directs sur le domaine de l'art contemporain où les cotes des artistes en vogue précédant le mois de septembre 2008 comme Jeff Koons ou Damien hirst ont chuté de moitié.
Par contre, les cotes des
grands artistes modernes ou les maîtres anciens ainsi que les prix pour les
arts asiatiques ont mieux résisté en 2009, signe que les amateurs ont tablé enfin sur des valeurs stables. Il convient de signaler que les ventes d'art
contemporain avaient explosé entre 2003 et 2008 pour des atteindre des sommets
jamais atteints. En 2008, Jeff Koons avait ainsi été crédité de plus de 81
millions d'euros de ventes avec 18 œuvres dépassant le million de dollars pièce
alors qu'en 2009, seules neuf ont pu atteindre ce seuil.
EEEn
2008, trente-deux œuvres de Damien Hirst ont été vendues pour plus d'un million
de dollars dont vingt-quatre lors de la grande vente qui lui avait été consacrée par Sotheby's à
l'automne 2008 laquelle avait totalisé près de 111 millions de livres (123 millions
d'euros). En 2009, une seule une œuvre de la série des Papillons a atteint 2
millions de dollars lors d'une vente à Hong Kong en octobre alors que les
collectionneurs ont semble-t-il décidé de se rabattre sur les premières œuvres
de Hirst produites par lui seul.
Les amateurs ont ainsi
tenu compte du fait que les œuvres de Koons ou de Hirst créées dans des
ateliers fourmillant de collaborateurs n'avaient pas un caractère vraiment
personnel et tenaient plutôt de la production en série selon le concept
discutable du design et non de la création propre. Le bon côté de la crise a
ainsi été de leur ouvrir utilement leurs yeux sur la qualité intrinsèque des œuvres
pour permettre au marché d'être remis enfin sur de meilleurs rails.