Les riches collectionneurs d'art contemporain se sont rués comme des bolides au départ d'un Grand Prix de formule 1 à la 42e édition de la foire de Bâle dès l'ouverture le 14 juin 2011 avec l'envie d'acheter ce qui se fait de mieux aujourd'hui
Les quelque 300 exposants représentant 35 pays se sont frotté les mains en voyant des amateurs littéralement affamés envahir leurs stands. Déjà dans les avions qui les menaient de Paris à Bâle, les rangées bruissaient de conversations surréalistes à propos de futurs achats mirifiques. C'est peu dire que Bâle est le rendez-vous préféré des milliardaires de la planète, qu'ils soient français, américains, britanniques, indiens, chuinois, russes, qataris ou autres..
Dès l'ouverture, plusieurs œuvres ont changé de mains, notamment « Frank & Jamie »,deux policiers renversés sur la tête de Maurizio Cattelan, une œuvre vendue 1,5 million de dollars il y a un an à New York, arrachée chez Gagosian pour 2,5 millions de dollars ou un Christopher Wool acheté 1,5 million de dollars chez Simon Lee tandis que les sculptures déjantées de Paul McCarthy ont été vendues à la pelle chez Hauser & Wirth.
On se serait cru à l'ouverture des soldes chez Harrod's sauf qu'au milieu de cette foire d'empoigne les acheteurs ont eu besoin d'avoir un certain flair pour dénicher les bonnes pièces appelées à générer des plus-values à brève échéance.
Heureusement, les plus prudents ont pu se rabattre sur des œuvres d'artistes consacrés comme Picasso, Bacon, Richard Serra ou Kapoor tandis que les galeries de moyenne importance ont profité de la présence d'acheteurs prêts à dépenser sans compter pour leur vendre des œuvres d'artistes prometteurs. On peut dire que le grand bal de Bâle a connu un succès monstrueux avec une valse sans pareille des étiquettes.
Les riches collectionneurs d'art contemporain se sont rués comme des bolides au départ d'un Grand Prix de formule 1 à la 42e édition de la foire de Bâle dès l'ouverture le 14 juin 2011 avec l'envie d'acheter ce qui se fait de mieux aujourd'hui
Les quelque 300 exposants représentant 35 pays se sont frotté les mains en voyant des amateurs littéralement affamés envahir leurs stands. Déjà dans les avions qui les menaient de Paris à Bâle, les rangées bruissaient de conversations surréalistes à propos de futurs achats mirifiques. C'est peu dire que Bâle est le rendez-vous préféré des milliardaires de la planète, qu'ils soient français, américains, britanniques, indiens, chuinois, russes, qataris ou autres..
Dès l'ouverture, plusieurs œuvres ont changé de mains, notamment « Frank & Jamie »,deux policiers renversés sur la tête de Maurizio Cattelan, une œuvre vendue 1,5 million de dollars il y a un an à New York, arrachée chez Gagosian pour 2,5 millions de dollars ou un Christopher Wool acheté 1,5 million de dollars chez Simon Lee tandis que les sculptures déjantées de Paul McCarthy ont été vendues à la pelle chez Hauser & Wirth.
On se serait cru à l'ouverture des soldes chez Harrod's sauf qu'au milieu de cette foire d'empoigne les acheteurs ont eu besoin d'avoir un certain flair pour dénicher les bonnes pièces appelées à générer des plus-values à brève échéance.
Heureusement, les plus prudents ont pu se rabattre sur des œuvres d'artistes consacrés comme Picasso, Bacon, Richard Serra ou Kapoor tandis que les galeries de moyenne importance ont profité de la présence d'acheteurs prêts à dépenser sans compter pour leur vendre des œuvres d'artistes prometteurs. On peut dire que le grand bal de Bâle a connu un succès monstrueux avec une valse sans pareille des étiquettes.