Organisée par Sotheby's et PIASA à
Paris les 26 et 27 octobre 2011, la vente des collections de la galerie
parisienne Fabius Frères, qui a cessé son activité après près de 130 ans
d'existence, a remporté un franc succès avec un total de 9,6 millions d'euros
(frais compris) pour 400 lots proposés.
Quatre records du monde pour des
artistes du 19e siècle ont été enregistrés, pour des sculpures,la « Jeune fille à la coquille »
de Jean-Baptiste Carpeaux vendue 936750 euros (fc) et « Eléphant »
d'Antoine-Louis Barye qui a atteint 756750 euros (fc), un vase en céramique de
Théodore Deck enlevé à 36750 euros (fc) et un dessin de Claude Gillot,
« Célébration en l'honneur du dieu Pan », adjugé 150750 euros (fc).
Une exceptionnelle paire de vases
Médicis en porcelaine de Sèvres d'époque Empire commandée par Napoléon 1er
pour son frère Jérîome peints par Jean-François Robert a été vendue pour 983150
euros (fc) en faveur du Métropolitan Museum de New York.
Organisée par Sotheby's et PIASA à
Paris les 26 et 27 octobre 2011, la vente des collections de la galerie
parisienne Fabius Frères, qui a cessé son activité après près de 130 ans
d'existence, a remporté un franc succès avec un total de 9,6 millions d'euros
(frais compris) pour 400 lots proposés.
Quatre records du monde pour des
artistes du 19e siècle ont été enregistrés, pour des sculpures,la « Jeune fille à la coquille »
de Jean-Baptiste Carpeaux vendue 936750 euros (fc) et « Eléphant »
d'Antoine-Louis Barye qui a atteint 756750 euros (fc), un vase en céramique de
Théodore Deck enlevé à 36750 euros (fc) et un dessin de Claude Gillot,
« Célébration en l'honneur du dieu Pan », adjugé 150750 euros (fc).
Une exceptionnelle paire de vases
Médicis en porcelaine de Sèvres d'époque Empire commandée par Napoléon 1er
pour son frère Jérîome peints par Jean-François Robert a été vendue pour 983150
euros (fc) en faveur du Métropolitan Museum de New York.