Pierre Soulages: Un de mes premiers dessins réalisés vers l'âge de 5 ans fit rire toute ma famille. J'avais balafré de noir une feuille de papier. Quand on me demanda ce que c'était, je répondis "un paysage de neige". Avec le noir, j'avais simplement voulu rendre le blanc du papier plus blanc...
Le manuscrit de la Vie de sainte Catherine
d'Alexandrie, classé trésor national, a pu rejoindre les collections de la
Bibliothèque nationale de France grâce à plusieurs mécènes, dont les
entreprises Septodont et Aristophil, la fondation B.H Breslauer, l'association du
mécénat de l'Institut et des donateurs privés, a-t-on appris le 22 novembre
2011 à Paris.
Réalisé à la fin du Moyen Âge pour Marguerite d'York,
sœur du roi d'Angleterre Edouard IV, et épouse du duc de Bourgogne Charles le
Téméraire, ce manuscrit composé de 54 feuillets en parchemin ornées de quatorze
miniatures et de bordures décorées peintes par Simon Marmion vers 1474 est
estimé à quelque 4 millions d'euros.
Jusqu'à présent, les collections nationales ne
possédaient aucune œuvre de Marmion, considéré comme un des plus grands
enlumineurs du 15e siècle. Traduit en français par Jean Miélot, chanoine
de Lille pour Philippe le Bon, duc de Bourgogne, le manuscrit de la Vie de
sainte Catherine fut rédigé par David Aubert, qui travailla pour ce dernier et Charles Le Téméraire.
Le manuscrit de la Vie de sainte Catherine
d'Alexandrie, classé trésor national, a pu rejoindre les collections de la
Bibliothèque nationale de France grâce à plusieurs mécènes, dont les
entreprises Septodont et Aristophil, la fondation B.H Breslauer, l'association du
mécénat de l'Institut et des donateurs privés, a-t-on appris le 22 novembre
2011 à Paris.
Réalisé à la fin du Moyen Âge pour Marguerite d'York,
sœur du roi d'Angleterre Edouard IV, et épouse du duc de Bourgogne Charles le
Téméraire, ce manuscrit composé de 54 feuillets en parchemin ornées de quatorze
miniatures et de bordures décorées peintes par Simon Marmion vers 1474 est
estimé à quelque 4 millions d'euros.
Jusqu'à présent, les collections nationales ne
possédaient aucune œuvre de Marmion, considéré comme un des plus grands
enlumineurs du 15e siècle. Traduit en français par Jean Miélot, chanoine
de Lille pour Philippe le Bon, duc de Bourgogne, le manuscrit de la Vie de
sainte Catherine fut rédigé par David Aubert, qui travailla pour ce dernier et Charles Le Téméraire.