On peut remercier Alexandre Dumas d'avoir eu une imagination débordante pour écrire nombre de livres extraordinaires. Sinon, il n'aurait peut-être écrit qu'un seul roman qu'il aurait peut-être intitulé « L'Etroit Mousquetaire »….
Le 26 mars, le groupe PIASA a obtenu 40 000 euros pour un joug olmèque (longueur 39 cm) provenant de l'Etat de Veracruz (Cero de las Mesas vers 500-100 avant J.-C.) en métadiorite vert olive foncé portant des traces de cinabre sculpté d'un faciès de crapaud, un objet cérémoniel probablement destiné à récompenser le vainqueur d'un jeu.
L'étude Gros-Delettrez a obtenu une remarquable enchère de 138 000 euros pour le « Manuscrit des mémoires de Louis XIV rédigé par Pellisson et corrigé de la main de Louis XIV » daté de 1673 relatant les guerres de Hollande, rédigé sur papier vélin filigrané regroupant 109 pages en 28 feuillets doubles numérotés (23,7 x 18,5 cm), un second mémoire, rédigé probablement par Rose, secrétaire du roi, et issu d'une première correction, accompagne ce manuscrit. Il est composé de 62 pages en 16 feuillets double de format 24,5 x 18,9 cm). La rédaction de ces mémoires, destinée à l'éducation du Dauphin, fut interrompue par la guerre de Hollande en 1672 et jamais reprise. Pellisson (1624-1693), qui fut emprisonné durant quatre années à la Bastille entre 1662 et 1666 pour avoir défendu Fouquet dont il avait été le confident, avait abjuré le protestantisme en 1670 avant de prononcer un panégyrique de Louis XIV l'année suivante.
Une jaquette en coton portée par le Dauphin, futur Louis XVII, lors de son séjour à la prison du Temple, a été quant à elle vendue pour 21 000 euros.
Le 27 mars, l'étude Tajan a vendu pour 31 000 euros une paire de miroirs espagnols du début du XVIIIe siècle (hauteur 113 cm) en bois sculpté et doré de cartouches ajourés, surmontés de feuilles flanquées de fleurettes, le culot présentant deux branches de laurier et une rose en tôle vernie, les glaces gravées de personnages symbolisant l'automne et le printemps. Une horloge squelette en laiton de Jean-Antoine Lépine de la fin du XVIIIe siècle présentant un balancier compensé, les deux poids actionnant un train formé d'engrenages a doublé son estimation pour culminer à 51 000 euros.
Une huile sur toile de Paul Sérusier (1864-1927) intitulée "Les ramasseuses de fougères" (73 x 60 cm) a été vendue pour 170 000 euros, en dessous toutefois de son estimation.
Une huile sur toile de Maxime Maufra (1861-1940) intitulée « Le Soleil Rouge » (45 x 60 cm) a doublé son estimation à 50 000 euros. Une huile sur toile (55 x 46 cm) de Roderick O'Conor titrée « Fleurs des champs dans un vase de céramique » a été vendue pour 120 000 euros alors qu'une huile sur toile vers 1896 de Louis Valtat, « Femmes de pêcheurs à Arcachon » (46 x 55 cm) a atteint 95 000 euros. « Le Bouquet bleu » (60 x 73 cm), une huile sur toile abstraite de Jean Fautrier, a été vendue pour 68 000 euros. Une toile d'André Masson représentant un torse d'homme (81 x 51 cm) a culminé à 120 000 euros. « La Gitane», une huile sur carton (53 x 43 cm) de Francis Picabia a été vendue pour 31 000 euros alors qu'une huile sur toile marouflée sur carton d'Albert Marquet, «Marabout dominant le golfe de Sidi Bousaïd» (33 x 41 cm) a atteint 45 000 euros. Et une huile sur toile de Marie Laurencin datée de 1941 intitulée « Jeune fille au ruban jaune » (46 x 38 cm) a été enlevée pour 55 000 euros.
Une noix de coco formant gourde sculptée en haut relief et polychromée vert brun sur fond marron et traces de rehauts dorés portant le monogramme « PGO » mais refusée comme étant de Gauguin par le Wildenstein Institute a été vendue pour 13 500 euros sur une estimation de 3 800.
Une table de salon d'époque Louis XVI estampillée de Pierre Harry Mewesen en placage de bois de sycomore, bois teinté, amarante et bois de rapport marquetés de trophées, instruments de musique et branchage fleuris dans des encadrements de filets ouvrant à un tiroir en ceinture formant écritoire a atteint 21 000 euros tandis qu'une console d'époque Empire (204 cm) attribuée à Jacob Desmalter a été vendue pour 31 000 euros.
Les ventes organisées à Paris entre le 25 et le 30 mars ont été animées avec quelques enchères très conséquentes à la clé.
Tout d'abord, il convient de signaler que le portrait de gentilhomme en buste, une toile de 78 x 58,5 cm vendue le 22 mars pour 300 000 euros par l'étude Tajan était celui de Carlo Broschi dit Farinelli (1705-1782), le fameux castrat qui était capable de tenir une note plus d'une minute.
Le 25 mars, l'étude Couturier a obtenu 100 000 euros pour une huile sur toile du peintre hollandais Charles-Henri-Joseph Leickert (1816-1907) datée de 1872 et représentant une scène de patineurs sur une rivière gelée (61,1 x 97 cm). Leickert perpétua la tradition des peintures de scènes d'hiver durant le XIXe siècle en se révélant comme le digne suiveur d'Andreas Schelfhout (1787-1870).
Dans cette même vente, une huile sur toile datée de 1859 par A. de Monin représentant une vue de Batavia (aujourd'hui Djakarta) (57 x 94 cm) a atteint 36 000 euros, au double de son estimation. Une vue représentant « La Seine à Saint-Germain-en-Laye » (27 x 41 cm) par l'artiste italien Giuseppe de Nittis (1846-1884) a été enlevée pour 32 000 euros alors qu'une huile sur toile de Félix Ziem intitulée « Les lavandières en costume arabe au bord de la Cagne » (41 x 56 cm) a atteint 30 000 euros. Une enchère similaire a été par ailleurs enregistrée pour « Les bateaux sur le Bosphore » (66 x 138 cm) par Henri Durand-Brager (1814-1879).
Une vue de Paris et de la Seine (60 x 81 cm) par Jean Dufy a été adjugée pour 50 000 euros alors qu'une aquarelle représentant un paysage (28 x 22 cm) par Pierre Bonnard a été vendue pour 11 000 euros sur une estimation de 2 000 euros. Une autre aquarelle du même artiste montrant des jeunes femmes à Arcachon vers 1930 (50 x 32 cm) a atteint 20 000 euros sur une estimation de 4 000 euros et une huile sur papier, encore de Bonnard, intitulée «Champs de fleurs à Vernonnet vers 1907» (50 x 64 cm) a été vendue pour 42 000 euros et un prix similaire a été atteint pour une huile sur panneau représentant une vue d'Anvers vers 1905 (37 x 46 cm). Une aquarelle d'Antoine Roux (1765-1835) représentant « L'Egide » dans le port de Marseille en 1803 a été vendue pour le prix record de 15 000 euros.
Une huile sur carton du peintre russe Ilya Repin (1844-1930) datée de 1879 et intitulée « Après-midi à Abramstevo » (25 x 16 cm) a séduit un amateur pour 27 000 euros et une vue de la Seine au pont de l'Alma (39,5 x 57cm) par le peintre tchèque Anton Chittussi (1847-1891) a culminé à 22 000 euros.
L'étude Cornette de Saint-Cyr a obtenu 87 000 euros pour une étagère murale en bois naturel, métal laqué et portes vitrées coulissantes et buffet bas en bois naturel à trois piedqs, 4 portes coulissantes plastifiées de Charlotte Perriand et André Chetaille (320 de longueur pour le buffet, 94 cm pour l'étagère) alors que deux bureaux de forme libre de Charlotte Perriand à plateau monté sur trois pieds profilés, éditions Stéphane Simon (225 cm et 170 cm de longueur respectivement) ont atteint 38 000 et 27 000 euros. Toujours de Charlotte Perriand, une bibliothèque à 8 casiers en bois naturel et métal laqué noir et blanc (hauteur 140 cm, longueur 252 cm) fabriquée dans les ateliers de Jean Prouvé vers 1950 a atteint 51 000 euros.
Un canapé « Tramonto New York » daté de 1979 par Gaetano Pesce édité par Cassina a été adjugé pour 14 000 euros. Un bureau de Yonel Lebovici intitulé « burotube » composé de tubes de métal chromé et d'une dalle de verre formant plateau a atteint 21 000 euros.
L'étude Rieuner a enregistré une belle enchère de 130 000 euros pour une huile sur carton (77 x 107 cm) de Louis Valtat représentant sa femme et son neveu Edouard Doubréré vers 1900, une œuvre néo-impressionniste de jolie facture peinte sous l'influence de Signac. Dans un autre registre, une toile de Hyacinthe Rigaud représentant le portrait de François Agésilas de Grossoles, marquis de Flamarens (136 x 102 cm) a atteint 44 000 euros, presqu'au niveau de son estimation basse.
Surprise pour une toile attribuée à Simon Saint-Jean (1808-1860) intitulée « Oiseaux dans les vignes » (75 x 55 cm) qui a atteint 23 000 euros sur une estimation de 6 000 euros.
Une lampe d'Alberto Giacometti dite « Etoile » en bronze à patine brun nuancé vert (41,2 cm de hauteur) a été vendue pour 24 000 euros alors qu'une commode Transition (longueur 116 cm) ouvrant à deux tiroirs sans traverse, marquetée d'attributs des lettres et des mathématiques sur fond de bois de rose dans des encadrements à filets et ornée de bronzes ciselés et dorés à décor de mufle de lion a atteint 26 000 euros. Une table de milieu italienne vers 1600 (239 cm de longueur, largeur 112 cm) en noyer massif incrusté d'os représentant des motifs géométriques sur des contre-fonds de bois indigène, le piétement reposant sur une terrasse à bord biseauté formé de quatre bustes de femmes jarret réunis par une entretoise en arc a séduit un acheteur pour 36 000 euros.
L'étude Delorme a vendu pour 130 000 euros une toile de Louis-Léopold Boilly (1781-1845) intitulée « La Jeune Mère » (40,5 x 32 cm) sur une estimation de 65 000 euros alors qu'un dessin à la plume et à l'encre noire rehaussé à la gouache et au lavis attribué à Auguste Rodin et titré « Le Sphinx » (17,8 x 12 cm) a pulvérisé son estimation pour atteindre 69 000 euros. Une huile sur toile d'Emile Bernard datée de 1895 et représentant une famille orientale (46 x 65 cm) a été adjugée pour 46 000 euros sur une estimation de 15 000.
Une épreuve en bronze de Jules Dalou (1838-1902) à cire perdue, édition A.A Hébrard, datée de 1874 et intitulée « Femme allaitant » a culminé à 55 000 euros.
L'étude Digard a obtenu 12 500 euros pour une sculpture en faïence aux émaux blancs et polychromes figurant Pomone (hauteur 105,5 cm vers 1950) par Georges Jouve.
Lors d'une vente organisée par l'étude Tajan, un dessin à la plume et encre brune de Luca Cambiaso (1527-1585) provenant de l'ancienne collection du peintre Joshua Reynolds représentant la chute de Saint Paul (28 x 42 cm) a été vendu pour 18 000 euros alors qu'un dessin à la plume et encre brune de Nicolas Poussin représentant un dessinateur dans un paysage (12,5 x 18,5 cm) a atteint 160 000 euros malgré des rousseurs.
Deux enchères pour Eugène Delacroix : 25 000 euros pour ses sept études d'indiens Ojibwas, 1845 (27,6 x 40,8 cm) à la plume, encre brune et lavis brun et 45 000 euros pour quatre études d'arnautes et de personnages des Balkans vers 1821-24 (20 x 35 cm) au pinceau, aquarelle, gouache et rehauts d'or sur crayon noir. Une huile sur papier de l'école française vers 1840 représentant à la manière de Corot une vue de Rome et du Vatican (37 x 58 cm) a pulvérisé son estimation de 6 000 euros pour atteindre 55 000 euros.
Un album (53 x 35 cm) contenant 98 aquarelles réalisées lors du voyage en Amérique du Sud par Edouard Quesnel entre 1864 et 1865 a été adjugé pour 48 000 euros sur une estimation de 8 000 euros.
Le 26 mars, le groupe PIASA a obtenu 40 000 euros pour un joug olmèque (longueur 39 cm) provenant de l'Etat de Veracruz (Cero de las Mesas vers 500-100 avant J.-C.) en métadiorite vert olive foncé portant des traces de cinabre sculpté d'un faciès de crapaud, un objet cérémoniel probablement destiné à récompenser le vainqueur d'un jeu.
L'étude Gros-Delettrez a obtenu une remarquable enchère de 138 000 euros pour le « Manuscrit des mémoires de Louis XIV rédigé par Pellisson et corrigé de la main de Louis XIV » daté de 1673 relatant les guerres de Hollande, rédigé sur papier vélin filigrané regroupant 109 pages en 28 feuillets doubles numérotés (23,7 x 18,5 cm), un second mémoire, rédigé probablement par Rose, secrétaire du roi, et issu d'une première correction, accompagne ce manuscrit. Il est composé de 62 pages en 16 feuillets double de format 24,5 x 18,9 cm). La rédaction de ces mémoires, destinée à l'éducation du Dauphin, fut interrompue par la guerre de Hollande en 1672 et jamais reprise. Pellisson (1624-1693), qui fut emprisonné durant quatre années à la Bastille entre 1662 et 1666 pour avoir défendu Fouquet dont il avait été le confident, avait abjuré le protestantisme en 1670 avant de prononcer un panégyrique de Louis XIV l'année suivante.
Une jaquette en coton portée par le Dauphin, futur Louis XVII, lors de son séjour à la prison du Temple, a été quant à elle vendue pour 21 000 euros.
Le 27 mars, l'étude Tajan a vendu pour 31 000 euros une paire de miroirs espagnols du début du XVIIIe siècle (hauteur 113 cm) en bois sculpté et doré de cartouches ajourés, surmontés de feuilles flanquées de fleurettes, le culot présentant deux branches de laurier et une rose en tôle vernie, les glaces gravées de personnages symbolisant l'automne et le printemps. Une horloge squelette en laiton de Jean-Antoine Lépine de la fin du XVIIIe siècle présentant un balancier compensé, les deux poids actionnant un train formé d'engrenages a doublé son estimation pour culminer à 51 000 euros.
Une huile sur toile de Paul Sérusier (1864-1927) intitulée "Les ramasseuses de fougères" (73 x 60 cm) a été vendue pour 170 000 euros, en dessous toutefois de son estimation.
Une huile sur toile de Maxime Maufra (1861-1940) intitulée « Le Soleil Rouge » (45 x 60 cm) a doublé son estimation à 50 000 euros. Une huile sur toile (55 x 46 cm) de Roderick O'Conor titrée « Fleurs des champs dans un vase de céramique » a été vendue pour 120 000 euros alors qu'une huile sur toile vers 1896 de Louis Valtat, « Femmes de pêcheurs à Arcachon » (46 x 55 cm) a atteint 95 000 euros. « Le Bouquet bleu » (60 x 73 cm), une huile sur toile abstraite de Jean Fautrier, a été vendue pour 68 000 euros. Une toile d'André Masson représentant un torse d'homme (81 x 51 cm) a culminé à 120 000 euros. « La Gitane», une huile sur carton (53 x 43 cm) de Francis Picabia a été vendue pour 31 000 euros alors qu'une huile sur toile marouflée sur carton d'Albert Marquet, «Marabout dominant le golfe de Sidi Bousaïd» (33 x 41 cm) a atteint 45 000 euros. Et une huile sur toile de Marie Laurencin datée de 1941 intitulée « Jeune fille au ruban jaune » (46 x 38 cm) a été enlevée pour 55 000 euros.
Une noix de coco formant gourde sculptée en haut relief et polychromée vert brun sur fond marron et traces de rehauts dorés portant le monogramme « PGO » mais refusée comme étant de Gauguin par le Wildenstein Institute a été vendue pour 13 500 euros sur une estimation de 3 800.
Une table de salon d'époque Louis XVI estampillée de Pierre Harry Mewesen en placage de bois de sycomore, bois teinté, amarante et bois de rapport marquetés de trophées, instruments de musique et branchage fleuris dans des encadrements de filets ouvrant à un tiroir en ceinture formant écritoire a atteint 21 000 euros tandis qu'une console d'époque Empire (204 cm) attribuée à Jacob Desmalter a été vendue pour 31 000 euros.
L'étude Beaussant a obtenu 14 500 euros pour deux vases de formes meiping (hauteur 29 cm) d'époque Yuan (1260-1368) montés de bronzes dorés en grès émaillé bleu turquoise à décor en brun noir sous couverte de médaillons de scène de personnages.
Le groupe PIASA a vendu pour 17 000 euros une toile de Karel van Falens (1683-1733) intitulée « La chasse au cerf » (50 x 61 cm) alors qu'une toile attribuée à Nicolas Huilliot (1674-1751) représentant une vasque de fleurs sur un entablement (87 x 128 cm) a recueilli 23 000 euros.
Une terrine et son couvercle en porcelaine blanche et polychrome de Meissen de forme ovale contournée reposant sur quatre pieds à enroulement orné de visages de putti, les anses en forme de bustes de femmes, le couvercle surmonté d'une figure de Minerve assise accoudée à un bouclier et entourée de cinq enfants, décor de fleurs et de paysages animés, vers 1745, a triplé son estimation pour atteindre 19 500 euros.
Une console demi-lune de la fin du XVIIIe siècle en bois laqué noir et redoré avec une sculpture très soignée a atteint 21 500 euros sur une estimation maximale de 6 000 euros.
Le 28 mars, le groupe PIASA a vendu pour 51 000 euros une reliure en maroquin mosaïque du début du XXe siècle incorporant dans son premier plat une miniature sur ivoire de la Sainte Famille et Saint Jean d'après Raphaël et contenant 75 autographes et documents originaux allant de 1426 à 1910 comprenant des bulles papales, des lettres royales (François 1er, Henri III, Louis XIII, Jacques 1er, Marie de Médicis, Louis XIV, Jacques II) ou d'autres grands personnages de l'histoire (Richelieu, Mazarin, Duc de Guise, Colbert et divers cardinaux).
Le « Livre de la Jungle » (Paris, Société du Livre Contemporain, 1919) de Rudyard Kipling, illustré par Paul Jouve de 16 compositions hors texte, 81 figures dans le texte, 15 en-têtes et 15 lettrines, le tout gravé sur bois par François-Louis Schmied et tiré en couleurs, avec deux gouaches sur papier préparatoire a atteint 65 000 euros.