Le marché mondial de l'art a connu un recul de
7% en 2012 malgré une hausse des ventes dans le domaine de l'après-guerre et du
contemporain et ce, en raison de la crise économique qui a durement frappé la
planète, selon le rapport annuel Tefaf publié le 14 mars 2013 la foire
d'antiquités de Maastricht.
Ce rapport n'a rien de surprenant vu que
artcult avait prédit il ya six mois une baisse du C.A mondial du marché de
l'art. La récession qui menace l'Europe et les Etats-Unis, ainsi que la
raréfaction d'œuvres importantes sur le marché a donc affecté le marché de
l'art qui a dû son salut aux ventes d'art contemporain en 2012, un domaine
réputé inépuisable.
Comme prévu, les les ventes ont chuté en un an
de 13% en valeur en France pour faire reculer de 6% à 5% sa part de marché au
niveau mondial mondial alors que le Royaume-Uni avec une part de marché de 23%.
S'accapare les deux-tiers des transactions réalisées en Europe.
Le marché mondial a cumulé 43 milliards de
dollars de ventes avec cependant 3,5% de transactions en moins mais le plus
surprenant a été le recul des ventes effectuées en Chine, passée au premier
rang mondial en 2011, lesquelles ont chuté de 24% en 2012 pour atteindre 10,6
milliards d'euros et faire retomber ce pays au 2e rang avec 25% de
parts de marché derrière les USA qui ont enregistré un C.A global de 14,2
milliards d'euros (près de 30% de parts de marché)
Très durement touchées par la crise, les
classes moyennes se sont détournées du marché de l'art pour aller à l'essentiel
tandis que les amateurs aisés ont joué la prudence en ces temps incertain.
Résultat : les ventes d'art moderne dans le monde ont baissé de 17% pour n'atteindre
que 3,2 milliards d'euros alors que celles concernant l'art d'après-guerre et
contemporain ont culminé à 4,5 milliards d'euros, soit une hausse de 5% par
rapport à 2011.
On peut prédire à coup sûr que l'année 2013, déjà mal engagée, sera difficile pour
le marché de l'art qui devrait connaître un nouveau recul en raison de la crise
économique persistante et du manque patent de pièces d'exception sur le marché
de l'art. Pour s'en faire une idée, il suffit ainsi de prendre en exemple l'Hôtel
Drouot dont les salles sont fermées le lundi et pas toutes ouvertes en semaine
et où les ventes sont souvent dénuées d'œuvres intéressantes.
Le marché mondial de l'art a connu un recul de
7% en 2012 malgré une hausse des ventes dans le domaine de l'après-guerre et du
contemporain et ce, en raison de la crise économique qui a durement frappé la
planète, selon le rapport annuel Tefaf publié le 14 mars 2013 la foire
d'antiquités de Maastricht.
Ce rapport n'a rien de surprenant vu que
artcult avait prédit il ya six mois une baisse du C.A mondial du marché de
l'art. La récession qui menace l'Europe et les Etats-Unis, ainsi que la
raréfaction d'œuvres importantes sur le marché a donc affecté le marché de
l'art qui a dû son salut aux ventes d'art contemporain en 2012, un domaine
réputé inépuisable.
Comme prévu, les les ventes ont chuté en un an
de 13% en valeur en France pour faire reculer de 6% à 5% sa part de marché au
niveau mondial mondial alors que le Royaume-Uni avec une part de marché de 23%.
S'accapare les deux-tiers des transactions réalisées en Europe.
Le marché mondial a cumulé 43 milliards de
dollars de ventes avec cependant 3,5% de transactions en moins mais le plus
surprenant a été le recul des ventes effectuées en Chine, passée au premier
rang mondial en 2011, lesquelles ont chuté de 24% en 2012 pour atteindre 10,6
milliards d'euros et faire retomber ce pays au 2e rang avec 25% de
parts de marché derrière les USA qui ont enregistré un C.A global de 14,2
milliards d'euros (près de 30% de parts de marché)
Très durement touchées par la crise, les
classes moyennes se sont détournées du marché de l'art pour aller à l'essentiel
tandis que les amateurs aisés ont joué la prudence en ces temps incertain.
Résultat : les ventes d'art moderne dans le monde ont baissé de 17% pour n'atteindre
que 3,2 milliards d'euros alors que celles concernant l'art d'après-guerre et
contemporain ont culminé à 4,5 milliards d'euros, soit une hausse de 5% par
rapport à 2011.
On peut prédire à coup sûr que l'année 2013, déjà mal engagée, sera difficile pour
le marché de l'art qui devrait connaître un nouveau recul en raison de la crise
économique persistante et du manque patent de pièces d'exception sur le marché
de l'art. Pour s'en faire une idée, il suffit ainsi de prendre en exemple l'Hôtel
Drouot dont les salles sont fermées le lundi et pas toutes ouvertes en semaine
et où les ventes sont souvent dénuées d'œuvres intéressantes.